Il y a un an… au Laos

Photo : Dans une rue de Vientiane (Laos, mars 2019).

 

Chaque mois, je change la photo de la bannière du blog.
En mars, vous découvrez une nouvelle photo de notre voyage au Laos il y a un an, en mars 2019.

Pour celles et ceux qui ont rejoint le blog en cours de route, ou qui n’ont pas trouvé le temps l’année dernière de lire tous les articles, le moment est venu de se rattraper !
(Merci de me signaler si vous tombez sur des liens cassés ou des vidéos dont le contenu a été supprimé.) Continuer la lecture de « Il y a un an… au Laos »

L’âne et le puits

 

J’ai toujours au moins deux livres en cours de lecture : mon roman de la nuit du soir et « mon livre du midi », auxquels s’ajoutent souvent une BD et un livre jeunesse que j’intercale ci et là. Genre t’attends dans une salle glacée pour (re)passer une mammographie, si t’as le moral, tu peux (re)lire C’est tout de suite le soir, Parle tout bas si c’est d’amour, ou La fille du canal. Même si t’as pas le moral, remarque. Ça peut t’aider. Lire aide.

Mais revenons à mon livre du midi*, car c’est de lui que je veux vous parler aujourd’hui.
Il est rarement une BD ou un livre jeunesse mais il peut l’être quand même, occasionnellement, la seule règle immuable étant qu’il doit relever de la non-fiction. Du documentaire absolument.
Donc Insolente Veggie ou la vie d’Olympe de Gouges racontée aux enfants oui, mais Pilules bleues ou Baby-sitter blues, non.
Voyez l’idée. Simple. Basique. Continuer la lecture de « L’âne et le puits »

I am NOT non-violent (Nina Simone)

 

[Conjointement à la publication de cet article, je viens de créer une nouvelle rubrique dans la catégorie VIVRE qui s’appelle : Culture de-ci de-là.
Vous la retrouverez facilement en passant votre souris (ou votre doigt ?) sur la catégorie VIVRE dans le menu du blog.
Sur mon ordi et la tablette des babi, c’est facile : le menu s’affiche tout en haut sous la bannière du blog. Mais sur les portables, je crois qu’il faut cliquer sur une icône avec trois traits horizontaux parallèles pour faire apparaître le menu…]

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Ça y est, vous êtes avec moi ?

Écoutez What happened, Miss Simone ?, le documentaire Netflix sur Nina Simone, réalisé par Liz Garbus. Il manque plein de trucs, il laisse sur sa faim, mais si vous êtes bloqué(e) chez vous, en quarantaine à cause de la psychose sur le coronavirus qui s’est emparée de votre ville et a annulé toutes les fêtes, tous les concerts, voyez-le.

Nina Simone fait partie des voix qui me transportent le plus. Continuer la lecture de « I am NOT non-violent (Nina Simone) »

La déception & moi

Photo : C’était juste après Noël, l’année dernière (Collioure, décembre 2019).

 

Attention, c’est du lourd et de l’intime que je partage avec vous aujourd’hui. Et si je choisis de le partager haut et fort, c’est parce que je cherche du soutien.
Je vous parle de moi et je cherche à savoir comment vous faites, vous, avec la déception. Avec la vie qu’on dit « réelle ».

La déception ne vient pas d’une circonstance extérieure objective. Elle est une émotion qui naît du décalage entre ce à quoi l’on voudrait s’attendre, ce que l’on souhaite, et la réalité.

Elle est un problème pour moi parce qu’elle me fait mal. Genre mal comme mal. Vraiment mal.
Elle éteint d’un coup toutes les étoiles qui scintillent en moi et ensuite je la traîne pendant des semaines et des semaines, elle me colle au cœur et je n’arrive pas à m’en détacher. Enfin, je finis par y arriver parce que je suis une optimiste – et c’est à la fois ce qui me sauve et ce qui m’expose à de nouvelles déceptions, j’y reviendrai plus loin – mais il m’en reste toujours de la poussière d’étoile âcre et froide sur la langue. Continuer la lecture de « La déception & moi »

Une affaire de mec

Photo : L’histoire de cette affiche de Rosie la riveteuse, créée pendant la Seconde Guerre Mondiale aux États-Unis, est passionnante. Voyez comme elle est reprise dans l’imagerie de Wonder Woman et dans celle du clip vidéo de Raise your glass, de P!nk, une chanson que j’ai intégrée à ma toute dernière playlist de running ici.

 

Depuis le début du mois, j’ai un nouveau téléphone. J’avais pas changé depuis dix ans. Presque.

J’ai horreur de ça. Je n’aime pas les nouveaux objets technologiques, et surtout, je déteste perdre mon temps à chercher dans des menus comment retrouver telle ou telle fonction que je maîtrisais parfaitement avant. Genre tu veux supprimer un contact de ton répertoire, donc tu laisses ton doigt appuyé sur le nom comme sur ton ancien téléphone mais en fait sur ton nouveau ça fait exactement l’inverse : ça APPELLE le numéro. What the fuck de téléphone de merde.

Et tous les autres trucs. Continuer la lecture de « Une affaire de mec »