Nana Polynesia !

Photo : Escale de vingt minutes à Bora-Bora, l’île des lunes de miel. Où je n’ai pas voulu aller parce que c’est que des resorts de luxe et c’est une île que de tourisme, mais, comme a dit l’une des deux filles du couple avec qui on partageait l’escale depuis Tahaa : on comprend pourquoi ! Et encore, il pleuvait ce jour-là et le ciel était couvert… (Polynésie, janvier 2019).

Au revoir Tahiti !

 
Notes pour trop tard from Polynésie

Note n°1

Ce qu’on rêve N’EST PAS la réalité. Les photos sont trompeuses.
Les atolls perdus au fin fond du Pacifique, oui c’est beau, la mer est turquoise et le sable rose, mais vivre là-bas, c’est autre chose. Il n’y a pas que la mer et le sable. Enfin si, justement, et c’est le problème. Mais bref, le peu que j’en ai vécu, une semaine sur l’atoll de Tikehau, a remis en perspective mon rêve du dimanche soir de partir sur une île déserte. Continuer la lecture de « Nana Polynesia ! »

Polynésie façon guide

Photo : Snorkeling au jardin de corail de Moorea (Polynésie, janvier 2019).

  

  • Période : 30 décembre 2018 – 21 janvier 2019 (3 semaines).
  • Âge des babi : 5, 7 et 9 ans.
  • Transport pour y aller : 4h35 de vol depuis Auckland (Nouvelle-Zélande) jusqu’à Papeete (Tahiti).
  • Décalage horaire : – 12 h l’été, – 11h l’hiver.
  • Transport sur place : à pied, en bateau.
  • Hébergement : à part la nuit du 31 décembre 2018 au 1er janvier 2019 dans un hôtel de luxe un peu par hasard à Papeete, nos hébergements ont consisté selon les îles en pensions de famille ou logements Airbnb.
    Non, non, pas de fare (bungalows) sur pilotis ancrés dans le lagon à la Bora-Bora love to love style…

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Poulet citron dans ma roulotte

Photo : Un snack du centre de Papeete à Tahiti. On était dimanche donc c’était fermé mais il y a toujours des gens qui discutent assis devant (Polynésie, janvier 2019).

 

Manger dans la rue à Tahiti et dans les îles

ΞΞΞΞΞ

 

On s’était préparés à ce que la Polynésie soit hyper chère et à ronger nos dents contre des vieilles écorces de noix de coco échouées sur la plage pour tromper la faim.
C’est pas vrai pour tout.
Dans les hôtels de luxe et les restaurants pour touristes, sûrement oui c’est cher. Mais pas si on achète soi-même le poisson et les fruits au supermarché ou en bord de route.
Pas non plus si on s’arrête dans les roulottes, ces food trucks ambulants, qui Continuer la lecture de « Poulet citron dans ma roulotte »

Une semaine à Tikehau

Photo : L’emploi du temps de Lulu (Polynésie, janvier 2019).

 

Par le Grand Lièvre à Tahiti.

 

 

Moi au début qu’on est arrivés à Tahiti, j’ai dit tout de suite que j’allais écrire sur Tikehau parce que c’est le seul atoll qu’on fait, et un jour, dans longtemps, quand on sera morts, tous les atolls des Tuamotu vont s’enfoncer dans la mer et il n’y aura plus que de l’eau.

Ici c’est pas comme sur les autres îles de Polynésie : y’a presque personne et y’a rien à faire. Y’a que un seul magasin et la dame a crié sur Garance qu’elle pose tout de suite la boîte de thon qu’elle avait pris dans sa main. Maman a dit Continuer la lecture de « Une semaine à Tikehau »

Faire la bringue

Photo : Une soirée ordinaire à la pension Colette, sur l’atoll de Tikehau dans les Tuamotu (Polynésie, janvier 2019).

 

Est-ce ainsi que les hommes vivent… en Polynésie ?

ΞΞΞΞΞ

 

La première chose qui m’a frappée en arrivant à Tahiti, c’est le tutoiement immédiat.
D’habitude je déteste ça. Je sais, je suis pas cool. Mais j’ai jamais dit que j’étais cool ! Je suis à l’ancienne. Il y a des gens de mon âge que je continue de vouvoyer. Après plusieurs années. Après même une certaine, oserais-je ?, proximité. Voilà. Bon.
Mais ici ça va. L’ambiance paréo, tongs et colliers de fleurs autour du cou sûrement. Ça colle moins à Paris, près du métro Rome (je vous téléphone).

Ici tout le monde te tutoie : les stewards et hôtesses de l’air, les douaniers de la bio-sécurité (une vaste blague, la bio-sécurité à Tahiti, après ce qu’on a vécu à Continuer la lecture de « Faire la bringue »