Mon plaisir espagnol

Photo : Ma tartine de pain au levain avec de l’huile d’olive et de la fleur de sel… miam miam miam ! (avril 2020).

Par la Petite Souris (11 ans, CM2).

 

Aujourd’hui je voudrais vous parler des tartines que je me fais tous les matins en ce moment : de l’huile d’olive et de la fleur de sel. Et ça, c’est un vrai bonheur pour commencer la journée !
Vous pouvez aussi ajouter du poivre du moulin si vous aimez mais moi je préfère sans. (Je n’aime pas trop le poivre.)

Je sais qu’au début, si vous n’avez jamais mangé ça, ça peut vous paraître bizarre. Moi aussi j’ai trouvé ça bizarre la première fois quand maman m’a dit : goûte ! Mais dites-vous qu’en Espagne, les enfants mangent des tartines à l’huile d’olive tous les matins, comme nous avec le beurre. Sauf qu’avec de l’huile d’olive c’est meilleur. (Enfin ça dépend quel beurre et quelle huile d’olive, et surtout avec Continuer la lecture de « Mon plaisir espagnol »

En confinement : c’est long

Photo : Un des chemins sur lesquels j’aimais courir AVANT. Avant qu’il ne soit question de : jusqu’à nouvel ordre (mars 2020).

 

Aujourd’hui nous entrons dans la huitième semaine de confinement comme stratégie gouvernementale de défense contre le coronavirus. Demain nous serons à J+50.

Je ne sais pas vous mais moi je ne suis clairement pas au top ces derniers temps. Pas la meilleure version de moi-même, si vous préférez. Cernes, confusion, kilos, dommages collatéraux… et depuis plusieurs jours je suis bloquée en haut du dos. J’ai la nuque raide et mal aux cervicales, aux trapèzes et jusque dans les épaules.

Je suis contractée et je me sens étranglée, comme si l’énergie ne circulait plus dans mon corps. Ce qui est probablement le cas. Il faudrait que je voie Alison pour m’aider à défaire tous ces nœuds, mais guess what ?
On ne peut pas.
À la place, Mickaël me masse le cou et le haut du dos plusieurs fois par jour à l’huile d’arnica et à la gaulthérie. C’est bien déjà mais ça n’en demeure pas moins de l’appoint. Du bricolage. Continuer la lecture de « En confinement : c’est long »