Mon ostéoporose & moi

Photo : Une journée de liberté arrachée ce lundi-là, avec ma chouette. C’était bien (Lieuvilliers, lieu Aimé, juin 2020).

 

Cela fait quatre mois que je n’ai pas publié d’article à cet endroit de mon blog que je chéris pourtant et qui s’appelle Ma chambre à moi.

Je le chéris parce que ce sont les articles de cette catégorie qui suscitent le plus de retours et d’histoires personnelles que vous me racontez. J’aime recevoir et lire vos courriers privés par lesquels vous me faites entrer dans vos vies parce qu’alors je me sens plus proche de vous, et riche de la confiance que vous me faites. Souvent en vous lisant je me remets en question, je n’avais pas vu telle chose comme ci ou comme ça, je m’interroge, et finalement je grandis.

 Or apprendre et grandir sont deux choses TRÈS IMPORTANTES à mes yeux.

Mais… les articles que je publie ici, dans ma chambre, sont plus difficiles à écrire que les autres. Continuer la lecture de « Mon ostéoporose & moi »

Still Alanis

 

Partage musical ce matin – pour celles et ceux qui n’ont pas eu l’heur de le découvrir en avant-première dans ma newsletter de dimanche (newsletter 62 # 28 juin 2020).
Bon et pour les autres aussi, ceux qui ont déjà eu et qui veulent encore plus (plusse).

 

À la fin du mois, le 31, Alanis Morissette sort un nouvel album : « Such Pretty Forks in the Road ». Un titre qui n’est pas sans rappeler un petit je-ne-sais-quoi des précédents. Les vieux de vieux : « Jagged Little Pill » d’abord, la claque de 1995, puis « Supposed Former Infatuation Junkie », en 1998.
Il y en a eu d’autres après : le « MTV Unplugged » de 1998 que j’ai traîné partout, égaré et retrouvé tant de fois, « Under Rug Swept » en 2002, « So-Called Chaos » en 2004, puis deux albums que je ne connais pas du tout en 2008 et 2012 parce qu’alors j’avais arrêté de la suivre.

Il y en a eu d’autres mais, en premier, ces deux-là. 1995 et 1998.

Alanis Morissette est donc une figure de longue date de mon univers musical, un pilier de bar de mon adolescence pourrait-on dire. Continuer la lecture de « Still Alanis »