Fan de : Augustin

Augustin Trapenard.
Photo non libre de droits, parue dans Les Inrocks je crois, mais je ne sais pas qui est le photographe, ni même en quelle année (2019 ?).

 

C’est obligé que je vous aie déjà parlé d’Augustin Trapenard sur ce blog. Parce que je suis fan. Mais genre big fan. HUGE fan.
Fan de « Boomerang », l’émission culturelle qu’il anime sur France Inter depuis six ans.
Soyons honnêtes : je ne connaissais pas Augustin avant ces six dernières années, je ne le connais pas ailleurs, il y a « Boomerang » et c’est grand.

En cherchant l’indicatif musical de « Boomerang » pour l’insérer dès le début dans mon article, parce que je l’adore, parce que les premières notes qui arrivent dans mes oreilles emplissent de joie mon cœur et mon esprit à la perspective de tout ce que je vais apprendre de riche sur le monde ce matin encore, je ne l’ai pas trouvé mais je suis tombée sur cette pépite en noir et blanc que je jubile de partager avec vous…
Franchement, si tu te lèves un dimanche, t’as pas le moral parce que t’as mal dormi, tout le monde te fait chier et tu trouves que ça manque méchamment d’héroïsme et de flamboyance autour de toi, prends trois minutes, regarde ça !

 

"Boomerang", le clip !

#FiouFiou | La chanson et le clip de "Boomerang" : le joyeux cadeau d' Augustin Trapenard et de la belle team de l'émission ♪Chantez, c'est vendredi ☀️🎤

Publiée par France Inter sur Vendredi 28 juin 2019

 

« Boomerang », le clip !, juin 2019.

Je dédicace ce clip réjouissant à Garance (11 ans), Alice (13 ans) et Louise (12 ans), avec qui j’ai passé une charmante soirée pour un père et enlève ce maquillage ignoble de ta figure, tu as l’air d’une pute une super soirée toutes les quatre sans les garçons, devant « Dirty Dancing » et des spanakopitas maison.
N’oubliez pas, les minettes : c’est pas un crime de porter des pastèques ! 😉

 

« FiouFiou, c’est le bruit du boomerang ! »

Nan mais qui ose un truc pareil ? Un clip pour une émission culturelle sur « Do you love me ? », des Contours certes, mais qui vous évoque forcément la B.O. de Dirty Dancing – allez, quand même… y’a pas que moi !
C’est comme ça que, dimanche (fin d’après-midi pour moi, parce que le matin je vais courir et ça va le moral), en trois minutes qui ont fait apparaître un sourire plein et entier sur mes lèvres desséchées, je suis passée de la big fan d’Augustin que j’étais déjà à la very huge fan d’Augustin que je suis désormais.

Augustin est un héros, Augustin est flamboyant, je vais l’aimer toujours ! Et vous aussi, parce que je vais vous montrer comment.

(Je sais très bien faire aimer quelqu’un à quelqu’un d’autre, même si ce deuxième quelqu’un oppose d’abord des parpaings de réticences, de déni, voire d’effroi. Je t’assure.)

Me dis pas que tu n’as pas souri, même un peu sous ton masque, en regardant le clip ci-dessus. C’est pas possible. Sinon c’est que tu n’as plus faim. De rien. Et si tu n’as plus faim c’est la fin. De tout. Ton âme est prise dans la glace…
Mais attends, reste quand même, je vais voir ce que je peux faire pour toi. Le clip c’est l’apéro seulement. Reste.

 

« Tu as un goût si amer et si doux. Je pourrais boire une caisse de toi mon amour, que je me tiendrais encore debout. Je me tiendrais encore debout. ». Extrait de la chanson « A case of you », de Joni Mitchell, qu’Augustin Trapenard a tatoué sur son bras.

 

 

Ah t’es foncedé ? Non… j’suis en train de lire en fait…

Augustin Trapenard, je vous en ai parlé au moins dans mon article Qu’est-ce qu’on attend pour ne plus suivre les règles du jeu ?, à propos d’Aloïse Sauvage, et, plus récemment, dans mon article Mon poing levé dans lequel Augustin lit un texte de Virginie Despentes.
J’adore quand il lit. Mais ce que j’aime le plus, c’est entendre Augustin Trapenard parler des livres qu’il aime.
Alors quand YouTube me propose, ce jour de juillet dernier où je dérivais sans but et sans mobile, dans la barre de droite de l’écran de mon ordi, une vidéo qui filme Augustin Trapenard dans sa bibliothèque, je vacille. IL FAUT que je voie ça, je me dis immédiatement. Right now.

Après, tu peux t’interroger sur comment YouTube analyse tes contenus et tes préférences…
QUI sait que je suis en manque de « Boomerang » quand c’est les grilles de l’été sur France Inter ?
QUI m’espionne quand j’écoute « Boomerang » en podcast sur mon ordi tout en cuisinant et en croyant que je suis seule ?
Pareil pour la pub, encore pire même. Prends garde d’ailleurs si tu achètes un collier pour ton chien sur Internet, tu serais surpris(e) de toutes les propositions que tu vas recevoir ensuite pour des accessoires sado-maso. True story.

Bref. Ce jour-là, YouTube me propose donc un contenu que je ne connais pas avec Augustin Trapenard ; ça aurait pu être n’importe quoi, je me précipite, je dis oui tout de suite.
L’intelligence est une drogue irrésistible.

Attention, c’est une vidéo qui commence par du Poppers… C’est pour que ce soit plus fluide… Allez souris, détends-toi merde !  🙂

 

Dans la bibliothèque d’Augustin Trapenard, l’interview Club Lecture pour Konbini, juin 2020.

 

« Je préfère de loin poser des questions, m’interroger, questionner, que d’imposer mon jugement de goût. »

Évidemment, si mon prof d’anglais au lycée avait été Augustin Trapenard, le cours de ma vie en eût été tout chamboulé !
Écoutez-le, vous avez 13 minutes de pur bonheur à travers Emily Brontë, Doris Lessing, Virginia Woolf, le Marquis de Sade, Pierre Bourdieu, Marguerite Duras, James Baldwin, Sapphire… et Jack Kerouac !

Ce choc de la coïncidence que j’ai eu, à la moitié de la vidéo (6’40), quand j’entends Augustin Trapenard lire précisément le même passage de Sur la route que ma chouette m’a envoyé pour mon anniversaire l’année dernière. Le même !
Souvenez-vous, nous étions en voyage autour du monde en famille et j’ai écrit un article pour l’anniversaire de chacun de nous. Dont le mien. Dans cet article, je vous demandais de m’écrire ce à quoi vous pensez quand vous pensez à moi. Comme un cadeau.
Voici ce que ma chouette, mon amie fidèle à la vie à la mort depuis la grande section de maternelle (ça fait 37 ans tranquille, elle me connaît un peu sans le masque si tu veux), m’a répondu :

« Les seuls qui m’intéressent sont les fous furieux, les furieux de la vie, les furieux du verbe, qui veulent tout à la fois, ceux qui ne bâillent jamais, qui sont incapables de dire des banalités, mais qui flambent, qui flambent, qui flambent, jalonnant la nuit comme des cierges d’église, comme des feux d’artifices extraordinaires qui explosent comme des araignées dans les étoiles, et en leur centre on peut voir la lueur bleue qui éclate et tout le monde fait waouh ! ».

Tu auras reconnu « Sur la route » de Kerouac… C’est vrai que j’aime les gens comme ça, et toi tu l’es. Je pouvais pas mieux dire pour te décrire.

 

Bien sûr c’est flatteur et plein d’amour, mais je sais aussi que c’est profondément sincère et ça m’a touchée. Je n’ai pas oublié. D’où ce choc de la coïncidence avec la lecture d’Augustin…

 

Augustin Trapenard lit le poème « Angoisses et autres » de Max Jacob, pour Têtu, avril 2019.

 

« Avouer un amour qui est difficile à entendre pour la personne qui le reçoit, mais qui est pratiquement impossible à dire pour la personne qui le prononce. »

J’adore sa voix. Augustin. J’adore son prénom, aussi, mais je suis totalement dingue de sa voix. Et la voix c’est très très important pour moi, j’ai dû déjà vous le dire mille fois (au moins dans cette newsletter-là : newsletter 65 # 13 septembre 2020).

Après ces deux premières vidéos, la bibliothèque et le poème, j’ai senti comme une fringale monter du fond de mon ventre. Un appétit démesuré de poésie, de littérature, de culture, et plusse encore. D’humain, de sens. De lui, de l’homme, de ce qui l’anime, pour parler aussi bien de ce qu’il aime.

Augustin Trapenard me donne envie d’écouter Joni Mitchell, lire Emily Brontë et Max Jacob, re-lire Kerouac et Faulkner, découvrir Siri Hustvedt, voir tous les films, toutes les expos, être partout à la fois, ne faire plus que ça. Augustin me donne faim !

Alors j’ai carrément tapé « Augustin Trapenard » dans la barre de recherches YouTube et j’ai regardé TOUTES les vidéos que j’ai trouvées.

Tu connais ce moment où tu as plein de choses à faire que tu n’as pas du tout envie de faire et où donc, tu passes des heures à faire des trucs qui n’ont rien à voir avec ton sujet ?
Dans mon cas, c’était : trier, désencombrer, nettoyer, ranger les chambres des enfants avant qu’ils rentrent de vacances et qu’on reparte direct. J’en avais parlé ici avec photo à l’appui le 15 juillet. Sauf que maintenant on était le 30 juillet, à quatre jours de la date fatidique de leur retour, et je n’avais encore rien fait. Il fallait que je m’y mette.
Et j’ai regardé des interviews d’Augustin Trapenard pendant des heures.

 

Augustin Trapenard a remporté le Prix Philippe-Caloni 2018 (c’est un prix qui récompense le meilleur intervieweur de l’année). L’interview par Elizabeth Martichoux, février 2019.

 

« Quand ça tremble, tant mieux ! »

Au fur et à mesure que j’enchaînais les vidéos, m’apparut comme une fulgurance et pour la première fois, la nette ressemblance entre Augustin et mon pote proche (difficile à dire, pote proche) : Arnaud. Dans les yeux, mais dans le sourire même, dans l’expression étonnée ou malicieuse, cet air complice qui te dit : viens, on va faire une farce ! Dans le mouvement permanent des mains aussi, évidemment.
Je sais à quel endroit de mon article Manger en Grèce AVEC ARNAUD je pourrais ajouter :
Quand je vois Augustin Trapenard, je pense à Arnaud.

Parce qu’après, plus je regardais Augustin, plus je trouvais troublante cette ressemblance avec Arnaud. Tu sais, comme quand ton cerveau réalise un truc évident qu’il ne voyait pas jusque-là et que dorénavant tu ne vois plus que ça. C’est alors que je découvre cette conférence TEDx qu’Augustin Trapenard a donnée sur le féminisme et qui s’appelle « Éloge de mon troll ».
« Il a raison, mon troll, parce qu’il me force à m’interroger. » ♥

Quelle n’est pas ma stupeur quand je l’entends évoquer, à 6’40 de la vidéo (encore, nouvelle coïncidence 😉 )… Sophie Marceau ! Oui parce que, vous ne pouvez pas le savoir, mais il se trouve qu’Arnaud adoooore Sophie Marceau, Arnaud est amoureux de Sophie Marceau !!!

 

« Le mercredi je recevais Sophie Marceau, j’étais très content… »

 

Augustin Trapenard, « Éloge de mon troll », conférence TEDxChampsElyseesWomen, novembre 2016.

 

 

Amoureuse, moi ?

Évidemment il y a bien plus que Sophie Marceau dans cette conférence. Il y a ses mains qui bougent tout le temps et l’humilité de son discours qui cherche, qui doute, qui toujours se remet en question. Normalement à ce stade de mon article, déjà tu l’aimes Augustin.

Moi je l’aime. Je l’aime, je l’aime. Pour son intelligence pétillante, sa culture immense mais jamais écrasante, son humour vif qui inclut la faculté à se moquer de lui-même, sa sensibilité à fleur de peau et ses engagements courageux, militants. Ces cinq étincelles qui m’éblouissent et rendent absolument sûr et certain que je vais le trouver beau (ces cinq étincelles et son charisme de ouf aussi, d’accord).

La vérité, c’est que je pourrais écouter Augustin Trapenard me parler de n’importe quoi.

La taille minimum requise pour le morceau de viande qui sert d’appât à la pêche aux écrevisses, ou la météorite qui est tombée dans le Yucatán il y a 65 millions d’années et qui a éliminé les dinosaures et toute forme de vie sur Terre – enfin, presque toute forme de vie.
(Et ces infos exclusives, je les tiens de cette petite personne-là.)

La nidification de la perruche à collier dans les parcs urbains du Val d’Oise, notamment celui de l’Abbaye de Maubuisson.
N’importe quoi.

À défaut de perruche, j’en suis arrivée à regarder des vidéos sur sa vie, Augustin. Son enfance, ses combats, les séries télé qu’il aime. Je rêvais d’une session indiscrète du style 24 heures dans la vie d’Augustin, tu sais, avec tous les détails de son quotidien. (Tu connais le mot « obsession » ?)
J’avais envie de savoir des trucs intimes comme ce qu’il y a dans son frigo, ce qu’il mange, comment il dort… Ça me fait ça quand les gens m’intéressent. J’ai envie d’ouvrir la porte de leur frigo et d’apprendre qui ils sont. Écouter, observer, marcher à côté avec le sentiment d’être très privilégiée.

(Attention, ne fais JAMAIS ça chez moi sans me demander avant. J’ai horreur de ça. Vraiment.)

 

Augustin Trapenard, l’interview séries, pour Canal+, avril 2020.

 

« Je chiale tout le temps devant This is us ».

Bam. Devine ce que je regardais, moi, tous les soirs au mois de juillet ?
Yes. « This is us ».
Et je pleurais tous les soirs.

Mais n’allez pas croire que j’aime tout le monde et que je me laisse facilement séduire. Pas du tout.

Ici je choisis d’écrire sur celles et ceux que j’aime, Arnaud et Marlène, Nina Simone et Alanis Morissette, ma chouette ou Augustin, mais en vrai les autres gens m’énervent. Tout le temps. Surtout en ce moment sous leurs masques. La bêtise m’échauffe, la lâcheté m’écœure. Souvent j’aime pas les gens. Souvent ils me déçoivent. C’est rare que je sois vraiment impressionnée par quelqu’un. Mais par lui, Augustin, oui. Plusse plusse même. Je me sentirais minuscule si je le rencontrais en vrai. Je serais rouge aux joues et j’aurais l’impression de ne rien savoir, rien connaître, peut-être que ça me ferait comme si je ne savais même pas lire !

 

Augustin Trapenard parle des femmes de sa vie, pour Simone Media, août 2019.

 

« L’amour c’est le centre du monde. »
Qu’est-ce que tu veux dire après ça ??

Je vous mets une dernière vidéo sur les bandes dessinées d’Augustin. Peut-être, grâce à lui, un jour je lirai Manara…

Après, si vous en voulez encore parce que vous êtes tombé(e) amoureux(se) comme je l’avais prédit au début de mon article, vous tapez « Augustin Trapenard » sur YouTube et vous allez trouver plein d’autres vidéos. De l’action / vérité classique à Bibliothèques Sans Frontières dont il est le parrain, en passant par ses interviews d’artistes hors « Boomerang ».
(« Boomerang » n’est pas de la radio filmée, donc pas de vidéo. Je crois qu’il y tient, et moi aussi. J’aime l’entendre décrire ses invité(e)s avec des mots et construire mes propres images.)

 

Augustin Trapenard, l’interview bandes dessinées, pour Konbini, février 2019.

 

« Le héros de BD qui me fascine c’est Spiderman, sans doute parce qu’il est à la fois caché et à la fois présent. »

 

Alors quoi ? Amoureuse, moi ?

Augustin Trapenard a le même âge que Papa Écureuil. Même année, même mois, tout. Mais pas le même signe astrologique. Damned. Je peux pas être avec quelqu’un qui est du même signe que moi – comme Arnaud, tiens. On va se massacrer.
En plus je l’ai vu dessiner dans la vidéo sur la bédé et il est droitier. Donc c’est mort. Je peux pas vivre avec un droitier. On va se double-massacrer.

C’est fou ce qu’on est prêt(e) à se raconter pour se consoler de ne pas être dans la vie de quelqu’un qu’on aime, non ?

Parce que bon, je le sais. Je sais ce que vous pensez. Pas la peine de me regarder comme une pauvre petite à qui on saurait pas comment annoncer la nouvelle.
Je le sais, qu’Augustin trouverait plus de charme à Mickaël qu’à moi. Mais justement, on serait d’accord, ce serait un autre point commun, on pourrait en parler, échang…

C’est bon. Ottolenghi aussi. Je sais. Ça va, ça arrive. On choisit pas forcément qui on aime, je vous ferais dire. Et on peut continuer à aimer dans son imaginaire. Tiens, imagine un dîner CHEZ Ottolenghi AVEC Augustin Trapenard. Tu dirais quoi ?
Imagine plus tard arrive un invité surprise, et c’est Idris Elba… Non j’arrête ! J’arrête j’arrête. C’est trop là. Idris Elba. Et puis il faudrait que j’améliore sacrément mon niveau d’anglais, alors tu vois. Mais quand même, Augustin Trapenard, Yotam Ottolenghi et Idris Elba dans la même soirée, est-ce que ce serait pas le fantasme ultime ?? (non non Arnaud, sans Sophie Marceau)

 

Augustin Trapenard dans sa bibliothèque, chez lui à Paris. Mickaël a la même chemise, le même jean. Je te promets. C’est dingue.

 

Sinon, comme je l’ai énoncé au début de cet article, j’avais en tête de vous faire écouter le jingle de « Boomerang » que j’adore (tiré du film Casse-tête chinois de Cédric Klapisch). Mais je l’ai pas trouvé sur Internet. Maintenant je me dis : fuck, si après avoir lu mon article vous n’êtes pas curieux(se) d’aller chercher les podcasts de l’émission en entier, c’est que j’ai merdé quelque part…

 

Boomerang, du lundi au vendredi à 9h10 sur France Inter.
En podcast, où vous voulez, quand vous voulez (avec qui vous voulez).
https://www.franceinter.fr/emissions/boomerang

 

*****

 

Et vous, fan de ou pas fan de (Augustin) ?

(Annonce : si vous êtes britannique et que vous donnez des cours de conversation en anglais pour des gens qui… euh… souhaitent progresser en anglais mais juste comme ça, pour eux-mêmes, à titre personnel, pour le plaisir de… euh… s’améliorer, contactez-moi. Barre de droite tout en haut de la page. Cliquez sur l’enveloppe.)

 

 

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