C’est une image que j’ai trouvée en faisant des recherches sur l’ostéoporose mais je ne sais plus où !
L’âge est juste un nombre
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https://www.youtube.com/watch?v=fNFzfwLM72c
Bee Gees, Stayin’Alive, B.O. La fièvre du samedi soir, 1978.
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L’insoutenable légèreté de nos corps
Salut les abonnés !
Bon alors ? Je vous l’avais promis *pompelup* cette newsletter ou pas ?
En vertu de quoi je ne vous parle pas de ma lassitude, ni du manque d’élan que je ressens alors que l’enthousiasme est mon appétit (mon essence). Non non non. Y’a un moment, faut y aller. Faire ce que l’on sait, au fond, qu’on va faire. Staying alive.
Et là je vous sors direct la B.O. de la Saturday Night Fever, l’année de ma naissance donc ça date, mais qui continue d’enflammer les dancefloors 2020 partout dans le monde. Yeees !
Attends, moi tu me dis de te la faire pompelup, je te la fais pompelup. Pas de promesses en l’air.
Portée, enjaillée par le rythme, je me suis même acheté une salopette en jean sur Vinted qui me moule les cuisses et les fesses encore plus sûrement que les pantalons des Bee Gees (et de Travolta). Si, j’te jure sur ma prochaine vodka.
Les kilos du confinement m’ont fait du mal. Maintenant pour réussir à la fermer, je dois plonger en apnée et me tenir fermement à la rampe de l’escalier pendant que Mickaël essaye de rapprocher les zips de chaque côté de mon dos sans les casser.
Et dans ma tête, à chaque fois que je me tiens à la rampe en apnée et que Mickaël serre, il y a le corset de Scarlett O’Hara :
De mémoire en français – parce que je ne retrouve pas l’extrait en français sur YouTube mais j’ai découvert Autant en emporte le vent en français et je l’ai vu des centaines dizaines de fois avec ma grand-mère, toujours en français, à une époque où j’étais très jeune et pas encore l’intégriste de la VOST que je suis vite devenue – de mémoire donc :
« C’que les messieurs disent et pi c’qui pensent, c’est pas la même chose. Et j’me rappelle pas que Monsieur Wilkes vous ait demandée en mariage… »
J’ADORE cette scène !
Et donc ma salopette est la nouvelle robe à froufrous. Quand elle est enfin fermée, je ne peux plus respirer autrement que saccadé, et je ne peux plus aller aux toilettes non plus. Évidemment c’est pas pratique mais bon, il faut savoir ce qu’on veut dans la vie.
Et moi ce que je veux, la vraie raison pour laquelle j’ai choisi cette chanson des Bee Gees pour ma newsletter, ce que je veux c’est être ce monsieur dans trente ans :
Mais Mickaël m’a déjà dit :
– Non, toi tu seras elle ! En Italie, en train de fêter ta 100e amende pour excès de vitesse !
C’était un petit tacle mais ok j’ai dit, je veux bien aussi. Dans quarante ans alors. Ou cinquante. Dans cinquante ans.
Sauf le tee-shirt vert, ça c’est pas possible. Quand tu es une femme, avec des seins donc, tu ne portes pas un tee-shirt comme ça. Ou alors tu coupes l’encolure aux ciseaux et tu la roules. Mais le corset et la robe à froufrous la salopette moulée, c’est plus stylé – comme dirait la Petite Souris.
Allez, stayin’alive les gens. Et restez légers. L’âge, le poids, les amendes, ne sont que des nombres.
Audrey
Je laisse l’écho venir à toi
27 mai 2020 : Il y a un an… au Japon (partie 1)
23 mai 2020 : Connasse
19 mai 2020 : Enivrez-vous