Les animaux de Nouvelle-Zélande

Photo : Un oyster catcher, le coup de cœur de papa Écureuil, sur la plage de Cannibal Bay, près d’Owaka dans l’île du Sud (Nouvelle-Zélande, décembre 2018).

 

La faune et la flore néo-zélandaises sont particulièrement marquée par l’endémisme : 75 % des plantes de l’île n’existent nulle part ailleurs ! D’où, probablement, l’extrême rigueur de la bio-sécurité à l’arrivée dans le pays

Beaucoup d’animaux, sans prédateurs et protégés par leur situation insulaire, sont devenus peu à peu moins combatifs. Certains oiseaux ont ainsi perdu l’habitude puis carrément la capacité de voler, comme le kiwi, animal emblématique du pays, ou le moa, aujourd’hui disparu et qui fut le plus grand oiseau du monde (jusqu’à 3,50 mètres de haut). Continuer la lecture de « Les animaux de Nouvelle-Zélande »

Clean up your mess !

Photo : La vue que j’avais sur le bateau, en revenant des Glowworm Caves à Te Anau (Nouvelle-Zélande, décembre 2018). C’est beau. Mais est-ce que c’est vivant tellement tout est bien rangé ?

 

Est-ce ainsi que les hommes vivent… en Nouvelle-Zélande ?

ΞΞΞΞΞ

 

Avant d’arriver en Nouvelle-Zélande, j’ai appris, grâce à Hervé dans Cinq barbares en chemin, que c’est le seul pays au monde, avec la France, où les soins médicaux sont entièrement gratuits. Je ne sais pas si c’est encore le cas aujourd’hui mais voilà, ça donne un premier indice. Ici, la santé et la sécurité c’est sérieux.

Il y a une loi dans la constitution néo-zélandaise qui stipule que « chacun est responsable de la sécurité des autres ».
Ça peut sembler une bonne chose de prime abord mais j’ai trouvé que ça prenait parfois des formes un peu tordues… Continuer la lecture de « Clean up your mess ! »

Quatrième arrêt : Nouvelle-Zélande

Photo : Deuxième nuit en camping sauvage au milieu de nulle part, sans connexion, que des moutons… (Nouvelle-Zélande, décembre 2018).

 

La Nouvelle-Zélande est composée de deux îles qui s’étirent sur 1 600 km de la pointe nord de l’île du Nord à la pointe sud de l’île du Sud. Entourées par l’océan Pacifique, les deux îles sont séparées par le Détroit de Cook.

À environ 2 000 km au sud-est de l’Australie dont elle est séparée par la mer de Tasman, la Nouvelle-Zélande est très isolée géographiquement. Cet isolement a permis le maintien et le développement d’une flore et d’une faune endémiques étonnantes pour nous qui venons de si loin (totara et kauri géants, kaponga, oiseaux bizarres qui ne volent pas comme le weka ou Continuer la lecture de « Quatrième arrêt : Nouvelle-Zélande »

No worries, man !

Photo : J’aurais pu mettre une photo d’un Australien, pour être plus en rapport avec le sujet de cet article, mais à la place j’ai choisi ma plus belle photo en Australie. Le matin à Kennett River, après la nuit où j’ai eu trop peur à cause des koalas

 

Est-ce ainsi que les hommes vivent… en Australie ?

ΞΞΞΞΞ

 

Quand on est arrivés en Australie, papa Écureuil a dit : « Je trouve que les Australiens ressemblent plus à des Européens, physiquement parlant et dans certaines attitudes, qu’à des Américains. ».
C’est difficile à expliquer parce que ça sonne un peu bizarre dit comme ça, mais je partageais son point de vue. Il y a quelque chose de très britannique chez les gens d’ici. Pas « so british », qui oriente sur une autre interprétation maintenant en français, non, vraiment britannique).
Puis, très vite, après quelques jours à peine, on s’est dit : non, c’est pas ça.
Les Australiens ne ressemblent qu’à eux-mêmes parce que, en dépit de leur côté britannique donc, l’Australie c’est carrément le Canada de l’hémisphère Sud ! Continuer la lecture de « No worries, man ! »