Que vous avez de grands yeux

Je ne sais pas d’où vient cette image magnifique que j’ai reçue. Si quelqu’un reconnaît le dessin, dites-le-moi, j’ajouterai le nom de son auteur(e).

 

Je ne suis pas sur Facebook mais j’ai près de moi une fée connectée qui m’envoie des résonances sur mon téléphone. Parfois c’est juste un sourire, un clin d’œil, parfois c’est énorme. Je ne sais jamais avant de cliquer. La veille de ma dernière newsletter (newsletter 87 # 26 septembre 2021), pas après, non, la veille, mon écran s’est ouvert en grand sur l’illustration en tête d’article qui accompagnait le texte suivant :

Toute rencontre avec l’autre est une rencontre avec soi, ainsi, quand nous la fuyons c’est nos blessures que nous fuyons.
La solution à cette souffrance est cruellement simple, elle réside en si peu de mots et en si peu de sagesse qu’elle passe pour suspecte : le temps perdu à regarder en soi, est, en réalité, du temps de gagné.
Car un jour tu seras tellement las de fuir et de souffrir, que tu réaliseras que tu es le seul artisan de cette souffrance. Et tu feras un premier pas vers une lumière que plus rien n’éteindra. Quand tu auras compris ces mots, éclatera une ampoule en toi et de la lumière te coulera du bout des doigts, et de tous tes pores.
Et tous ceux qui te rencontreront, souriront.

Le texte et l’image sont tirés de la page Facebook de Unis-Vers-l’Essence-Ciel.
Lien vers la page que j’ai reçue samedi soir : https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=2195922047217443&id=962913673851626&sfnsn=scwspwa

 

À vous d’y penser, d’ouvrir grand les yeux en dedans pour mieux voir où ça pique…

 

Le Petit Chaperon Rouge (version de Perrault), illustré par Christian Roux, éd. Seuil Jeunesse, 2007.

 

 

Sinon, j’ai vécu ce week-end ma première déception avec Ottolenghi.
J’en parle dans une note que j’ai ajoutée à la fin de cet article : Ottolenghi part-time lover.

C’était dur. Il m’a fallu pas mal de champagne pour encaisser. Maintenant je me dis que je ne peux pas en rester là. C’est trop con, on ne condamne pas un début d’histoire sur un rendez-vous manqué, un truc qui s’est grippé, et hop on laisse tout tomber. Je vais prendre le temps de comprendre ce qui n’a pas fonctionné et je vais m’y remettre.

Tout le monde a des failles mais peu de personnes savent rendre la vie des autres plus belle. Une rencontre de ce type, c’est précieux.

 

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