Photo : Les oliviers du père de ma cops Marlène. Ceux qui portent les olives dont il extrait l’huile qui me nourrit tout au long de l’année. Et c’est moi qui ai pris la photo (village de Suçães, Portugal, août 2022) ! Qui a la chance aujourd’hui de prendre lui-même en photo les oliviers dont l’huile irrigue son corps ?
Bizarre, ce mois d’août… Des journées très longues, surtout au début, et puis en fin de mois tout s’est accéléré comme fait la vie des fois, pour vous supplier de la prendre tant qu’elle est là parce que le temps vous est compté avant la rentrée. Enfin je dis pas ça pour vous déprimer hein ! C’est pas parce qu’un jour on va mourir que tous les autres jours on doit vivre comme si on était déjà mort, n’est-ce pas ? Au contraire. C’est le contraire qu’il faut faire…
Donc demain embrassez la rentrée et appréciez ce partage de vie que je prends le temps de faire ici avec grand plaisir tous les mois depuis le début de l’année ! 😊
S’il n’en restait qu’un(e) # janvier 2022
S’il n’en restait qu’un(e) # février 2022
S’il n’en restait qu’un(e) # mars 2022
S’il n’en restait qu’un(e) # avril 2022
S’il n’en restait qu’un(e) # mai 2022
S’il n’en restait qu’un(e) # juin 2022
S’il n’en restait qu’un(e) # juillet 2022
Fin août 2021, deux articles successifs dans la rubrique VIVRE < En chemin ont provoqué à l’opposé d’étranges réactions masculines.
Le premier, la pastille sexe de l’été n°5 à propos de ce que c’est qu’être sexy, m’a valu une levée de boucliers virils. Des mines outrées et des cris d’injustice, comme quoi les hommes aussi subissent les injonctions esthétiques de la société et qu’ils sont soumis, tout autant que les femmes, au regard jugeant sur leur corps. Que les femmes sont même plus impitoyables que les hommes quand il s’agit de critiquer. Continuer la lecture de « S’il n’en restait qu’un(e) # août 2022 »