Photo : Le cèdre du Liban de Rome (novembre 2022).
Mais si. Lis la suite, tu vas voir.
Je n’ai pas écrit d’article depuis un mois. Un mois, dis-toi !
Depuis le début du blog, c’est la première fois que ça arrive. Et la raison de mon silence ne vient pas de ma déprime de saison annuelle.
Non non.
Ce n’est pas parce que j’étais au fond du gouffre que je n’ai pas écrit, au contraire, c’est le plus beau mois de novembre que j’ai passé depuis… quoi ? 1998 ? Des gens se souviennent de novembre 1998 ? Des gens étaient nés déjà ?
Des fois il suffit d’un rien, comme dirait Kool Shen ma cops Marlou qui me sert aussi du vin. Pour vivre le bonheur ou le drame. Un pique-nique, un rhum, une cabane. Week-end à Rome… pour la douceur de vivre et pour le fun puisqu’on est jeunes – demande à Etienne !
Hey les gens… Parmi ceux qui étaient nés, aussi, en 1984, QUI pensait comme moi que la suite de la chanson c’était : week-end d’automne, retrouver le sourire et blablabla ? (la bulle dans ta bulle, la notte, la notte, tout ça.)
Eh ben non ! En fait c’est : week-end rital, retrouver le sourire et blablabla. J’te jure ! Je viens de chercher les paroles de Daho sur Google ! Et je suis déçue, parce qu’« automne » ce serait mieux, « automne » ça rime avec Rome, ça rime parfaitement avec mon début du mois de novembre à Rome !
Vas-y viens on s’en fout, on continue à dire week-end d’automne !
Oh j’voudrais tant, j’voudrais tant coincer la bulle dans ta bulle
Et traîner avec toi qui ne ressemble à personne Continuer la lecture de « S’il n’en restait qu’un(e) # novembre 2022 »