J’ai faim, moi, maman !

Photo : La Petite Souris enjoys son tout premier bagel* à Montréal (Canada, septembre 2011).

 

Vous vous souvenez du 101e dalmatien, le tout petit qui réclame tout le temps : « Mais j’ai faim, moi, maman ! » ?
Eh ben c’est Chouch. Ou Lu. Ou la Petite Souris.
Parfois alternativement, parfois tous en même temps.
On a trois 101e dalmatiens.

Autour de nous, on connaît pourtant des enfants qui sont nourris avec trois coquillettes et demie. Même à dix ans. Good for their parents. Continuer la lecture de « J’ai faim, moi, maman ! »

Menjar a Mallorca

 

Exceptionnellement, et assez bizarrement je dois dire, je n’avais pas d’attentes culinaires particulières en partant en vacances cette fois-ci.
Pas de glace que je veuille absolument goûter, pas de spécialité que je ne puisse pas rater.

À Majorque, j’imaginais une gastronomie conviviale à base de tapas, produits de la mer et légumes du soleil. Et c’est à peu près ça.
Avec du citron tant qu’on veut – même si les gens nous regardent avec des grands yeux, la Petite Souris et moi, quand ils nous voient croquer le citron comme ça, quartier par quartier, comme une orange. Continuer la lecture de « Menjar a Mallorca »

Mon premier foulard

 
Le chicotement de la Petite Souris
à Majorque

Le lendemain de notre arrivée à Majorque, on est allés au marché de Felanitx.
Maman et moi on a laissé les garçons derrière avec papa parce que Chouch faisait que de crier et chouiner et Lu faisait que de l’embêter exprès, donc il criait et il chouinait encore plus, alors nous on est parties devant et on les a laissés en plan.

En marchant, on a trouvé des vendeurs de foulards, et je m’en suis acheté un trop beau que j’ai choisi MOI-MEME et que j’ai payé avec Continuer la lecture de « Mon premier foulard »

Pourquoi je déteste les cyclistes allemands…

… sur les routes de Majorque !

 

Par Papa Écureuil a Majorque

On m’avait prévenu qu’il y avait à Majorque beaucoup d’Allemands mais je n’ai pas mesuré ce que « beaucoup » voulait vraiment dire.

Il faut se rendre compte que quand on rentre dans un restaurant, les serveurs nous demandent « deutsch ? », que les panneaux servant à attirer le touriste sont d’abord en allemand, et que les touristes, allemands donc, commencent toujours par parler en allemand, où qu’ils soient, avant de se raviser si d’ordinaire la jolie langue de Goethe n’était pas Continuer la lecture de « Pourquoi je déteste les cyclistes allemands… »