Photo : Ta Prohm, dans les temples d’Angkor (Cambodge, février 2010).
Bon les ami·es, je ne vais pas tout vous raconter. Je ne vais même pas vous raconter du tout parce que je n’ai aucune envie de revenir là-dessus mais, j’ai été beaucoup malade au premier semestre. Des symptômes récurrents et invalidants, assortis d’une immense fatigue, qui m’ont empêchée des mois durant de mener ma vie comme je l’aime.
J’ai bien sûr passé des examens (prise de sang, radio, scanner, EFR, tests…).
J’ai consulté ici et là. De la médecine conventionnelle. De la médecine chinoise (avec aiguilles). Des médecines dites « douces » (et ça me fait toujours bizarre, ce qualificatif qui suppose que l’autre, en opposition, la médecine qui est officiellement reconnue et pratiquée ici en France, serait donc, par nature, « dure »).
Je me sentais tellement démunie que j’ai même approché des thérapies carrément alternatives à base de petits bonhommes allumettes, EFT, RITMO/EMDR, bois ton pipi à jeun libération énergétique et déprogrammation neuro-émotionnelle.
Maintenant ça va, merci. Je me débrouille avec ce que j’ai, en amplifiant ma joie de tous les moments où je Continuer la lecture de « Les médecins & moi »